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Sunday, January 31, 2010

About my last entry...

J'avais rédigé ceci en guise de PS du post précédent, mais j'ai vite changé d'avis: Il y a cependant assez d'espace pour que je le bâtisse en billet indépendant et pour me créer l'illusion d'avoir posté deux fois quand j'aurais bien pû le faire sous un titre unique!

Je désapprouve la fin du livre. La morale est certes là, elle rejaillit d'ailleurs tout au long de l'histoire, mais je trouve qu'Epiphane a poussé un peu trop loin sa volonté de prouver à Ethel ce "Tout est possible", j'irai même jusqu'à dire qu'il le lui a arraché sans son consentement maintenenat qu'il lui a ôté la vie. Cette éternité qui le facsine tant, et pour laquelle il s'est fait jeté au cachôt, peut-être qu'il n'est en train de la vivre que lui seul dans son propre imagination -c'est bien ca, ce mot me rattrappe encore!-.
Si Ethel était toujours en vie, elle ne lui aurait pas permis de la retrouver "cette eternité". Bof! J'ignore les motivations de ce personnage, peut-être qu'il se plaît dans les "à sens unique" (côté sentiments) ou enocre, voudrait-il s'ériger en figure emblématique d'un amour martyrisé dont il est seul l'auteur, mais ne serait-ce pas un peu trop égoiste comme facon de mettre son bonheur à exécution?.
PS: Vous m'excuserez les cédilles zappées, je ne parviens toujours pas à retrouver cette lettre sur mon clavier
PPS: Les cours reprennent demain. I'd better go to bed early!

Thursday, January 28, 2010

Smile! you fit the mold...


J'ai lu récemment un extrait d'un livre d'Amélie Nothomb dont je suis tombé immédiatement sous le charme; et comme plus rien ne plaît beaucoup ces derniers jours - du moins côté lecture-, je me suis décidée à explorer l'une des oeuvres de cette écrivaine, dont un de ses livres "l'Elégance de l'Hérisson" me fût recommandé il n'y a pas longtemps par une amie.
Après une petite recherche sur le net, mon choix s'est porté sur "Attentat", un roman qui remettait en question notre perception du beau et du laid, mais qui convoque généralement une plus profonde médiation sur le regard des autres, sur beaucoup de ces paradoxes de la vie, de ces couples d'antonymes sémantiques à qui seuls nos esprits "tordus" (sounds harsh but can't put it another way) semblent donner un sens, un sens dépourvu de tout esprit d'analyse qui ne fait que perpétuer les travers d'un homme qui consomme idées, perceptions, stéréotypes...quitte à ne rien remettre en question qui puisse le bouleverser dans ses traditions et ses idées même les plus faussées.

Ce roman a donc été l'occasion pour moi de revenir sur cette notion de "Normal" et de "Normalité" qui m'a toujours intriguée. Qu'est ce qui lui confère ce caractère d'"incontestabilité"? Qu'est ce qui la rend si "indésacralisable"? Chacun ressent une fierté à s'attribuer telle ou telle qualité pourvu qu'elle lui soit reconnue par une poignée de gens de son entourage, et qu'elle lui procure un certain avantage, ou le rassure tout juste de sa "normalité".
Laid, pauvre, mauvais,...tous ces mots, ces adjectifs que l'on s'invente tous les jours et à travers lesquels on se plaît à identifier les gens et à les cloitrer dedans, n'existent peut-être que par le bais de notre esprit, et ne revêtent d'autre importance que celle qu'on a choisie de leur attribuer, ils sont conditionnés par notre imagination mais ils conditionnent au fond toute notre existence.
Qu'est ce que c'est que d'être normal après tout? Le normal est l'anormal sont-ils en train de muter en deux grandeurs physiques quantifiables et avec eux l'acceptable et l'inacceptable?

Dieu nous a doté d'une faculté de discernement, cette faculté ne devrait se laisser aucunement réduire à des mots figées, des attributs auxquels on est censé correspondre par quelque déterminisme social pour prouver qu'on est finalement c'est individu normal
who fits the mold and who therefore should be fine!

Wednesday, January 27, 2010

Midnight rambling...


If there's one thing I've been craving, it is my state of sheer idleness. It finally occured, but now it's ending and it's making me sad.
I'll miss you emptiness, I've grown to really love you those last days. But I'm afraid it has to be over soon: Holidays are drawing to an end!
PS: I've been listening a lot to Piano soundtracks by Yann Tiersen lately, and I unconditionnaly love his music. My fingers are playing the tunes all day. I miss the instrument so badly!
I've also found out about some celtic music by Ronan Handiman, It's more like the epic kind of it but the Cello in it is just amazing.
PPS: The Postscript is getting longer than the original post. I've lost all sense of proportions those last days not only in writing but in just about everything. I should be back to normal soon, what am i saying? I HAVE TO!!

Thursday, January 14, 2010

A vicious circle...

My performance is reaching its lowest level ever!

I'm far, very far from the objectives I've settled for my self as far as studies are concerned. This ongoing week of exam prepartion, and contrarily to any misconceptions, seems to be never-ending for me. It is just freaking me out knowing that I have three days ahead of me to make myself ready for the whole thing, and still feel completely helpless about that. It only brings me back to my state of relentless unproductivity.Days seem to be impossibly "stretching" when I really only want to see them dwindle down, bringing this week end to an end, and putting one to my everyday slef-inflicted mental torture!

Je sais!...I must be a stupid, an officialy freaky idiot considering things the way I do and still feel completely right about it. But my paradigm shifts those last days are so much to be reduced to that one aspect of things. Actually, they are so much mind numbing and body tiring that they are hindering any action that i'd like to undertake! I think this whole thinking is leading me back to the very point I've started with.

It's definitely a vicious circle