Je désapprouve la fin du livre. La morale est certes là, elle rejaillit d'ailleurs tout au long de l'histoire, mais je trouve qu'Epiphane a poussé un peu trop loin sa volonté de prouver à Ethel ce "Tout est possible", j'irai même jusqu'à dire qu'il le lui a arraché sans son consentement maintenenat qu'il lui a ôté la vie. Cette éternité qui le facsine tant, et pour laquelle il s'est fait jeté au cachôt, peut-être qu'il n'est en train de la vivre que lui seul dans son propre imagination -c'est bien ca, ce mot me rattrappe encore!-.
Si Ethel était toujours en vie, elle ne lui aurait pas permis de la retrouver "cette eternité". Bof! J'ignore les motivations de ce personnage, peut-être qu'il se plaît dans les "à sens unique" (côté sentiments) ou enocre, voudrait-il s'ériger en figure emblématique d'un amour martyrisé dont il est seul l'auteur, mais ne serait-ce pas un peu trop égoiste comme facon de mettre son bonheur à exécution?.
PS: Vous m'excuserez les cédilles zappées, je ne parviens toujours pas à retrouver cette lettre sur mon clavier
PPS: Les cours reprennent demain. I'd better go to bed early!